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Comment la DSI relève le défi de la mobilité pour ces professionnels ?

Concernant la DSI, le plus important c’est d’évaluer la valeur ajoutée de son projet.

Par exemple, l’infirmière libérale doit supprimer le papier – crayon. Pour réaliser cet objectif, il y a diverses actions à mener, qui sont les suivantes :

  1. Les développeurs devront transformer un formulaire papier en cases à cocher ou en listes déroulantes que les préleveurs pourront sélectionner.
  2. Pour augmenter la valeur ajoutée, il faudra apporter de l’intelligence artificielle que l’informatique et la e-santé pourront offrir. Ceci pourrait accentuer et optimiser l’acte médical.
  3. Lorsque l’objectif est atteint, il faut lever les objections techniques. Celles-ci peuvent être réglementaires et normatives. Cependant, certaines réglementations doivent être respectées. Nous pouvons trouver la CNIL qui impose ses directives, la norme 15 189 et le RGPD depuis Mai 2018. Ces données de santé sont stockées dans un cloud qui doit être agréé hébergeur de données de santé.

Ensuite, nous pouvons voir que l’un des points fondamentaux pour assurer la pérennité d’une solution de l’e-santé c’est de s’assurer que les données puissent être partagées. Pour cela, il faut maîtriser l’interopérabilité.

Cependant, l’interopérabilité c’est quoi ?

L’interopérabilité représente l’intégration et/ou la communication qu’il existe entre deux systèmes informatiques hétérogènes. Celui qui maîtrise cette interopérabilité va permettre à sa solution d’évoluer avec ses autres innovations qu’elle va générer. C’est pourquoi, une innovation modifie un écosystème.

Pour finir, nous pouvons voir que l’application doit être construire pour pouvoir créer des bases de données embarquées sur le smartphone avec une synchronisation permanente et enfin de sécuriser ces données.

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